La Corée est toute indiquée, étant donné l'échec patent de Yeongam dont la situation n'a jamais été favorable, mais quid de la seconde ? On a évoqué les difficultés rencontrées en Allemagne, même si l'édition 2014 prévue à Hockenheim est garantie, et puis les teams tiennent trop à ce marché essentiel pour la F1.
Les regards se tournent désormais vers l'Inde, car depuis le premier Grand Prix couru dans ce pays voici trois ans les contraintes administratives pèsent sur les équipes, à commencer par des exigences en matière de taxation. Jusqu'à présent, Bernie Ecclestone était parvenu à éviter cette dîme, mais les autorités indiennes exercent une forte pression sur le promoteur Jaypee Group pour récupérer ce qu'elles estiment être leur dû. Une réunion des patrons d'écuries a eu lieu hier dans le paddock du Hungaroring avec ce sujet sensible à l'ordre du jour...
Selon Auto, Motor und Sport les teams refuseraient de se rendre sur le circuit de Buddh (même cette année) si ce couperet était toujours présent. Et lassé par les tergiversations de la bureaucratie indienne, Ecclestone serait bien décidé à faire passer l'Inde à la trappe du calendrier 2014, d'autant que le succès populaire de ce Grand Prix n'a jamais été vraiment au rendez-vous.
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