L’actrice ne s’est jamais remise de son enfance, où ses parents faisaient du mieux qu’ils pouvaient avec des bouts de chandelles.
Egoïste, Scarlett Johansson? On le sait, elle a renoncé à son mandat d’ambassadrice pour l’ONG Oxfam pour garder son dernier contrat publicitaire avec l’entreprise israélienne SodaStream. Le prix de son image? Environ un demi-million de francs, alors qu’au cinéma, l’actrice de 29 ans a engrangé par exemple 19 millions de dollars pour le film «The Avengers 2».
Mais voilà, elle a beau être très riche, un sou est un sou et il faut bien vivre. «C’est agréable d’avoir de l’argent. J’ai grandi dans une famille modeste, mes parents avaient de la peine à payer le loyer. Avec mon frère jumeau, Hunter, et ma sœur Vanessa, nous recevions des aides de l’Etat de New York pour le transport et la cantine à l’école», s’est-elle justifiée auprès du Mail on Sunday . A l’entendre, elle ne s’est jamais véritablement remise d’un tel traumatisme, et c’est pourquoi elle a préféré le cash de SodaStream au combat contre la pauvreté dans le monde que mène Oxfam.
Ne vous méprenez pourtant pas sur son comportement: Scarlett Johansson aime dépenser son argent si durement gagné pour faire plaisir à ses proches. «Moi non plus, je ne supporte pas les radins, cela me rend folle. Je suis plutôt généreuse et au grand dam de ma banque, je ne fais jamais d’économies.» La semaine dernière, l’actrice, installée à Paris avec son fiancé, Romain Dauriac, s’est offert une nouvelle maison de vacances dans les Hamptons pour 2 millions de dollars.
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