Voilà toute la magie de Batman : Arkham City. Comme son prédécesseur Batman: Arkham Asylum (2009), ce jeu vidéo de super-héros accomplit exactement ce à quoi l’on est en droit de s’attendre d’un tel titre, mais que peu parviennent effectivement à réaliser : le joueur finit par sentir qu’il habite vraiment le costume blindé et armé du justicier masqué, plutôt que de le contrôler au moyen de sticks analogiques et de boutons. Et ça, c’est tout un accomplissement.
L’action d’Arkham City se situe plusieurs mois après les événements du jeu précédent. Batman est prisonnier, autant par devoir qu’en raison des circonstances, d’Arkham City, un secteur muré des pires quartiers de Gotham City, qui fait désormais office de prison géante.
Dans le rôle de Batman, le joueur doit contrecarrer le plan machiavélique du tyran auto-proclamé d’Arkham City, Hugo Strange, tout en affrontant une pléthore de vilains qui se sont succédé au cours de décennies de bandes dessinées.
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