«
C’est le fonds qui manque le moins » : Vison et provision pour
l’autonomie financière des jeunes, est le titre de l’ouvrage que Eric
Adja a lancé le 22 décembre 2011, à Cotonou. Dédié à la jeunesse
africaine, le livre passe en revue des directives diverses pour tous
ceux des projets mais qui ne savent pas comment y accéder.
« Quel mérite y a-t-il à se restreindre, à se contenter de peu, à se complaire dans les haillons de la misère, à se laisser confiner dans le ghetto du sous-développement, une tare acceptée et « assumée » parfois avec un fatalisme étonnant, sous prétexte que nos ressources sont faibles ou limitées ? ». Ces propos de Thomas Boya et Jérôme Carlos, se retrouvent dans l’introduction de l’ouvrage : « C’est le fonds qui manque le moins : Vision et provision pour l’autonomie financière des jeunes », du docteur Eric Adja, récemment paru à Cotonou, en aux éditions de l’avenir. Cet ouvrage de 103 pages, met en lumière « l’attitude de la main tendue généralisée qui sous-tend nos projets et nos économies, afin de susciter la réflexion et l’adoption d’une vision en faveur de l’autonomie financière ». Selon l’auteur, sa démarche consiste à «aider les jeunes à allier idéal à la réalité, l’idéal de leurs projets, rêves et aspirations à la réalité de la rédaction d’un dossier de demande de financement ». En 3 chapitres, l’auteur parcourt : la vision, la provision et les clefs pour l’autonomie financière. En annexe de l’ouvrage, se trouve deux exemples de guides pratiques de recherche de financement. « Le but de ce livre est de témoigner de la puissance des idées organisées pour transformer notre pays, à partir des données et mécanismes existants. Il ne s’agit pas de réinventer la roue, mais d’inviter la jeunesse béninoise et africaine sur le chantier réaliste et réalisable de la génération des richesses et ressources nécessaires à notre développement», déclare l’auteur.
Eric Adja est actuellement Enseignant-chercheur à l’université d’Abomey-Calavi et directeur général de l’Observatoire internationale des transferts de fonds des migrants des pays les moins avancés.
« Quel mérite y a-t-il à se restreindre, à se contenter de peu, à se complaire dans les haillons de la misère, à se laisser confiner dans le ghetto du sous-développement, une tare acceptée et « assumée » parfois avec un fatalisme étonnant, sous prétexte que nos ressources sont faibles ou limitées ? ». Ces propos de Thomas Boya et Jérôme Carlos, se retrouvent dans l’introduction de l’ouvrage : « C’est le fonds qui manque le moins : Vision et provision pour l’autonomie financière des jeunes », du docteur Eric Adja, récemment paru à Cotonou, en aux éditions de l’avenir. Cet ouvrage de 103 pages, met en lumière « l’attitude de la main tendue généralisée qui sous-tend nos projets et nos économies, afin de susciter la réflexion et l’adoption d’une vision en faveur de l’autonomie financière ». Selon l’auteur, sa démarche consiste à «aider les jeunes à allier idéal à la réalité, l’idéal de leurs projets, rêves et aspirations à la réalité de la rédaction d’un dossier de demande de financement ». En 3 chapitres, l’auteur parcourt : la vision, la provision et les clefs pour l’autonomie financière. En annexe de l’ouvrage, se trouve deux exemples de guides pratiques de recherche de financement. « Le but de ce livre est de témoigner de la puissance des idées organisées pour transformer notre pays, à partir des données et mécanismes existants. Il ne s’agit pas de réinventer la roue, mais d’inviter la jeunesse béninoise et africaine sur le chantier réaliste et réalisable de la génération des richesses et ressources nécessaires à notre développement», déclare l’auteur.
Eric Adja est actuellement Enseignant-chercheur à l’université d’Abomey-Calavi et directeur général de l’Observatoire internationale des transferts de fonds des migrants des pays les moins avancés.
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