Selon les défenseurs des Droits de l'Homme, la chanteuse américaine aurait reçu pas moins d'un million de dollars pour se produire pendant deux heures devant le dictateur angolais le week-end dernier au gala de la Croix-Rouge angolaise.
Un show qui avait été parrainé par la société de téléphonie mobile Unitel, dirigée par la Isabel dos Santos la fille du président également à la tête de la Croix-Rouge angolaise et qui est par ailleurs la seule milliardaire au pays, selon l'institut des Droits de l'Homme.
"Je suis honorée de partager ce spectacle avec le président de l'Angola", a déclaré Mariah Carey qui a posé aux côtés du dictateur, de sa femme et de sa fille après le show. De quoi s'attirer les foudres du directeur de l'institut des Droits de l'Homme qui a dénoncé l'attitude de la chanteuse, rappelant au passage qu'elle avait déjà chanté devant un autre dictateur, le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi, il y a cinq ans de cela.
"Mariah Carey aurait besoin d'une équipe mieux informée et devrait donner son million à l'institut des droits de l'Homme de l'Angola", a-t-il commenté sur Twitter.
"Je suis honorée de partager ce spectacle avec le président de l'Angola", a déclaré Mariah Carey qui a posé aux côtés du dictateur, de sa femme et de sa fille après le show. De quoi s'attirer les foudres du directeur de l'institut des Droits de l'Homme qui a dénoncé l'attitude de la chanteuse, rappelant au passage qu'elle avait déjà chanté devant un autre dictateur, le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi, il y a cinq ans de cela.
"Mariah Carey aurait besoin d'une équipe mieux informée et devrait donner son million à l'institut des droits de l'Homme de l'Angola", a-t-il commenté sur Twitter.
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