9 janv. 2014

Jelly, l’application qui veut avoir réponse à tout


Imaginée par un des fondateurs de Twitter, l’application Jelly permet aux utilisateurs de partager leur savoir et de s’entraider. Lancée mardi 7 janvier, elle fait le buzz. 

Une nouvelle application mobile a braqué sur elle tous les projecteurs de la planète high-tech cette semaine: Jelly. Derrière ce petit nom qui fait référence au cerveau décentralisé de la méduse (jellyfish en anglais) se cache un service d’aide à mi-chemin entre Instagram et Google Helpouts.

Le principe est simple. L’utilisateur qui se pose une question interpelle la communauté au moyen d’une photo qu’il prend sur le moment ou d’une image stockée sur le mobile. Par exemple? «Où sortir ce soir à Lausanne?» où «Quel est le meilleur vin pour une fondue?».
Les utilisateurs connectés voient défiler les questions et peuvent choisir d’y répondre, de les ignorer ou encore de les transmettre à des amis susceptibles d’y répondre.
Par Facebook et Twitter
L’identification sur Jelly se fait au moyen d’un compte Twitter et/ou Facebook. Les réseaux sociaux déterminent aussi le périmètre dans lequel sont visibles les questions des utilisateurs, à savoir pour ses amis et les amis de ses amis.
Chronique d’un carton annoncé? Bien malin qui pourra le dire. L’application fait surtout parler d’elle en raison de son concepteur, Biz Stone, qui compte parmi les fondateurs de Twitter. Il est attendu au tournant comme une rock star qui sort son deuxième album après un premier succès planétaire.
L’application Jelly est gratuite et disponible pour Android et iOS. (Dans l'App Sotre ou Google Play, cherchez «Jelly Industries» pour la trouver plus facilement).

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