Bon gré mal gré, Scarlett Johansson défraie la chronique. La publicité de SodaStream dans laquelle elle apparaît est passée à la trappe sous la pression de concurrents: le spot a été rayé du programme TV de la finale du Superbowl de dimanche.
En cause, la dernière phrase prononcée par Scarlett Johansson «Sorry Coke and Pepsi», qui n’aurait été que très modérément appréciée par les deux monstres de l’industrie du soda.
Initialement prévue pour être diffusée lors de la retransmission télévisée de la NFL (le football américain), le spot publicitaire de SodaStream sera finalement boycotté par la Fox pour la deuxième année consécutive.
Selon le quotidien USA Today, Daniel Birnbaum, patron de SodaStream, a indiqué que le spot avait été recalé sous la pression de Pepsi et Coca-Cola.
Initialement prévue pour être diffusée lors de la retransmission télévisée de la NFL (le football américain), le spot publicitaire de SodaStream sera finalement boycotté par la Fox pour la deuxième année consécutive.
Selon le quotidien USA Today, Daniel Birnbaum, patron de SodaStream, a indiqué que le spot avait été recalé sous la pression de Pepsi et Coca-Cola.
Au cœur du conflit israélo-palestinien
Depuis qu'elle a accepté d'être la tête de gondole de la marque israélienne SodaStream, l'actrice américaine est vivement critiquée. Elle est accusée de cautionner «l’exploitation des travailleurs palestiniens».
Le premier volet de l'affaire est en effet en lien avec le conflit israélo-palestinien. L'organisation Oxfam, qui lutte contre la pauvreté et dont la jeune femme est l'une des ambassadrices depuis 2007, reproche à SodaStream d'avoir implanté une de ses usines dans une colonie israélienne de Cisjordanie.
L'ONG britannique a ainsi déclaré dans un communiqué «respecter l'indépendance de ses ambassadeurs». Mais l'organisation reste «opposée à tout commerce en provenance de ces colonies qui sont illégales au regard du droit international.»
Depuis qu'elle a accepté d'être la tête de gondole de la marque israélienne SodaStream, l'actrice américaine est vivement critiquée. Elle est accusée de cautionner «l’exploitation des travailleurs palestiniens».
Le premier volet de l'affaire est en effet en lien avec le conflit israélo-palestinien. L'organisation Oxfam, qui lutte contre la pauvreté et dont la jeune femme est l'une des ambassadrices depuis 2007, reproche à SodaStream d'avoir implanté une de ses usines dans une colonie israélienne de Cisjordanie.
L'ONG britannique a ainsi déclaré dans un communiqué «respecter l'indépendance de ses ambassadeurs». Mais l'organisation reste «opposée à tout commerce en provenance de ces colonies qui sont illégales au regard du droit international.»
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